J 5 : Palma de Majorque ou plutôt journée en mer
L'escale à Palma n'ayant lieu qu'à 21h00, cette journée s'est passée en mer. Nous en avons profité pour lire dans les différents salons et sur le pont extérieur, faire un tour à la salle de sport et faire des maths pour une de mes filles (plus par obligation que par plaisir, je dois préciser ! ).
A 17h45, nous étions conviés à un cocktail privé comme la moitié des croisiéristes, je suppose, car nous avions une carte MSC suite à notre première croisière. Finalement, il n'y avait pas tant de monde que ça.
En préparant les escales, je n'avais pas pensé que l'on sortirait à Palma puisque l'on arrivait de nuit. Mais, le premier jour de la croisière, on avait vu qu’un « Panoramic night tour » était proposé. Bien que les visites en groupe ne soient pas trop à notre goût, on s'est dit que ce serait l'occasion de voir Palma de Mallorca.
Avec un peu de retard, départ en bus à 21h30, en longeant le port et premier arrêt aux arènes de 35 min car en face, il y a un magasin de perles de Majorque. La guide nous explique rapidement comment elles sont fabriquées. Donc après avoir jeté un coup d’œil aux arènes, on fait comme tout le monde et on va au magasin car il n’y a rien d’autre à faire. Voilà exactement ce que je déteste dans ces visites organisées. Mais, bon, je reconnais que lorsque l’on a proposé aux filles de leur acheter des boucles d’oreilles, elles, elles ont beaucoup aimé l'arrêt !
Le bus nous a ensuite déposés près de la cathédrale et on a pu commencer la visite by night. Tout était très éclairé, il faisait bon et il y avait presque une pleine lune. J’ai été surprise de la qualité de cette visite nocturne alors que moi, il ne me serait pas venu à l’idée de la faire seule. On a eu un bon petit aperçu de Palma avant de rentrer vers minuit et demi.
J’appréhendais un peu le bruit dans les couloirs car le bateau partant à 5 heures, certains allaient peut-être rentrer tard, mais pas de problème. Le lendemain, on a juste été réveillés par des gens parlant devant la cabine à 7h00. Comme mon mari toujours très matinal s’apprêtait à partir prendre son petit déjeuner, je lui ai demandé de leur faire comprendre qu’il serait bon d’aller piailler ailleurs. Et bien, devant la cabine, les fautifs étaient notre cabiniste et son collègue !