Enfin, l’escale qui m’a fait choisir cette croisière. J’avais adoré ma première visite à Santorin il y a … 27 ans et je voulais que le reste de la famille voit ça. Mais cette escale demande d’être matinal. Mon mari s’est dévoué pour aller chercher le ticket de débarquement à l’Insolito Lounge à 7h30. Il y avait peu de monde et il a eu des tickets pour 8h45, heure à laquelle nous étions effectivement dans la chaloupe.
Autre avantage d’être dans les premiers, c’est qu’il n’y a pas de queue pour prendre le téléphérique (5€) qui se trouve à quelques mètres à gauche quand on débarque. On peut pour le même prix monter à dos d’âne mais ça ne tentait que notre cadette. Une fois en haut, on prend à droite la rue principale (celle où il y a des voitures) et on descend jusqu’à voir sur la droite une grande construction blanche qui est une cathédrale et en face un arrêt pour taxis où l’on voit un panneau indiquant qu’il faut descendre pour prendre le bus. Il y a plusieurs bus mais il suffit de demander lequel va à Oia.
De toute façon, on n’est pas les seuls. Il faut environ 30 min pour aller à Oia et cela nous a coûté 1,6 € / personne. D’autres personnes du bateau ont pris un taxi pour 15 € donc le bus reste une bonne option.
Une fois à Oia, il ne reste plus qu’à profiter car c’est juste très beau ! Nous nous promenons deux heures et demie avant de revenir de la même façon.
Au
retour, le bus est archi bondé mais bon, nous n’avons pas envie d’attendre 30 min le suivant. Arrivés à Fira, comme nous avons encore beaucoup de temps, nous redescendons à pied sauf la plus
jeune qui veut descendre sur un âne. Il faut moins d’une demi- heure à pied pour descendre.
Il n’est que 14h00 à notre retour sur le bateau,
donc après un super « Nutella Milk Shake » au San Giorgo (on prend des habitudes), les filles vont tester la piscine qui s'avère être bien froide.
Ce soir, il faut se préparer avant l’heure car c’est
la soirée du commandant et il y a un cocktail. J’avais acheté aux filles une robe pour l’occasion et elles attendaient cette soirée avec impatience. C’est agréable de temps en temps de
s’habiller. La majorité des passagers ont joué le jeu. Les plus élégantes sans conteste étant les passagères japonaises, j’en ai même vu une avec un magnifique kimono de cérémonie.
Le spectacle du soir a été encore meilleur que les précédents. Le French Cancan de la fin étant le point d’orgue.